L. Dagenais, L'informatisation du D.C. : Saisie, post-édition et lecture. Conventions |
5.1. Transposition de l'alinéa : [TAB]. Dans l'imprimé, la première adresse (qui correspond aussi à la vedette) est alignée sur le troisième caractère, comme le sont les paragraphes à l'intérieur de l'article. Nous transposons tous ces retraits par [TAB] (c'est pourquoi on sépare la vedette de la première adresse par [TAB]; cf. §3.1).
5.2. Changements d'alinéa. Nous respectons les changements
d'alinéa sans normaliser la pratique un peu désordonnée
du lexicographe ou de l'imprimeur. Ex. :
5.3. Normalisation de la position des citations en vers par rapport
à la marge de gauche : [TAB]. Dans le texte imprimé,
les citations en vers se présentent en retrait, alignées sur
l'alinéa (et toujours en taille <PETIT>; cf. §§17.5.1
et 18.1). Nous faisons donc précéder chaque vers d'un [TAB].
Nous normalisons l'alignement des vers chaque fois que nécessaire.
Ex. :
BAN : l'acception « 2° » est
séparée de la première par un long
tiret, sans changement d'alinéa mais les
acceptions « 3° » et « 4° » sont introduites
sans tiret, chacune par un changement d'alinéa.
BIEN (s. m.), 271, col. g., troisième citation :
Sur la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, cf.
§16.1.
« Ta plume
baptise
>
De noms trop doux gens de tel acabit ;
Ce sont trop bien maroufles que Dieu
fit.
Rouss. »
[TAB]Ta plume baptise
[TAB]De noms trop doux gens
de tel acabit;
[...]
5.4. Normalisation de la position des noms d'auteurs ou d'oeuvres à la suite des citations en vers : [Appui droite]. Le plus souvent, les noms d'auteurs et d'oeuvres (incluant Id. et Ibid.) suivent la citation en vers. Nous les faisons précéder d'[Appui droite] (sans [TAB]), sur la ligne qu'ils occupent dans l'imprimé (celle du dernier vers ou la suivante), conformément à la police (cf. §20.1) et à la taille, moyenne ou <PETIT> (cf. §18.1) dans lesquelles ils se présentent. Ex. :
Sur l'ordre du codage, <POSITION> + <TAILLE> + <POLICE>, cf. §21.3.
6.1. Descriptif. Dans l'imprimé, les guillemets ont la forme
de guillemets fermants (« " ») et ils sont
séparés du premier caractère qui les suit par un
espace, que nous éliminons. Ils servent exclusivement à
introduire une citation (qui peut se limiter à un exemple très
simple), référencée ou non, sans jamais en baliser la
fin. Nous les transposons en guillemets droits. Ex. :
6.2. Cas d'espèce sans normalisation : guillemets devant un
tiret de disjonction. On a pour l'instant trouvé un cas où
les guillemets précèdent un tiret de disjonction et non la
citation elle-même. Les guillemets sont donc collés à
ce signe (soit : le premier caractère qui suit les
guillemets) :
6.3. <ITALIQUE> non pertinente (hormis citations en vers). Les
guillemets ne se présentent jamais en italique dans l'imprimé.
Ils sont donc toujours saisis à l'extérieur du code de
police : que le mot qui précède ou celui qui suit soit
en italique ne les affecte pas.
Toutefois, ils seraient forcément saisis à l'intérieur
de la police italique s'ils se trouvaient dans une citation en vers
entièrement en <ITALIQUE>. Sur les conventions de saisie des
citations en vers, cf. §§5.3, 17.5.1 et 18.1.
6.4. Taille non pertinente (hormis citations en vers). Les guillemets
se présentent en taille moyenne. Ils sont donc toujours saisis
à l'extérieur des codes de taille : que le mot qui
précède ou celui qui suit soit affecté d'une taille
particulière ne les affecte pas.
Toutefois, ils seraient forcément saisis à l'intérieur
de la taille <PETIT> s'ils se trouvaient dans une citation en vers. Sur
les conventions de saisie des citations en vers, cf. §§5.3,
17.5.1 et 18.1.
L'imprimeur n'utilise jamais le « 1 » arabe (même
pour la pagination).
7.1. Transposition du « I »
romain en « 1 ». Nous remplaçons
« I » par « 1 »
dans les cas où la numérotation se poursuit en chiffres arabes
(soit : pour la numérotation des syllabes dans le commentaire
phonético-graphique et pour celle de différentes acceptions
d'un lexème).
7.2. Maintien des chiffres romains. Nous maintenons les chiffres
romains quand ils appartiennent à une série en romains
(séries peu fréquentes d'ailleurs; ex. CHAUFAGE, CHAÛD,
QUE [7]), quand ils accompagnent la
référence à un volume donné d'un livre ou
à divers noms et quand ils correspondent à un renvoi
noté ainsi dans le D.C. Ex. :
BAISER, v. a., col. dr., §2, d. l. :
« Charles I. »
CHACUN, 398, col. g., §1, d. l. : « Voy.
NOMINATIF , IV , n°. 2°. »
Sur les chiffres cardinaux suivis d'un point, cf. §13.1.1.
7.3. <ITALIQUE> non pertinente (hormis titre d'oeuvre d'une citation
en vers). Nous n'avons pas encore trouvé de chiffre en italique.
On pourrait toutefois imaginer que la citation de Rousseau (cf.
CARACTÈRE ci-dessus) se présente ainsi : "Liv. I , Ode", avec le chiffre romain en italique. On saisirait
alors comme suit :
7.4. Taille non pertinente (hormis citations et titre d'oeuvre d'une
citation en vers). Les chiffres se présentent très
généralement en taille <PETIT>, attribut de
l'imprimé que nous ignorons. Ex. CHACUN, « IV » > IV.
Toutefois, les chiffres seraient forcément saisis à
l'intérieur de l'attribut <PETIT> s'ils se trouvaient dans une
citation en vers ou dans un titre d'oeuvre lui-même en taille
<PETIT> (cf. §18.6). Sur le même principe que l'<ITALIQUE>
(cf. §7.3), on peut imaginer la citation de Rousseau se
présentant ainsi : "Liv. I, Ode"; on
saisirait alors :
8.1. Maintien général. Nous préservons partout
les caractères en exposant. L'attribut est récurrent dans
l'énumération des syllabes, des lettres ou des sons,
c'est-à-dire dans le composant phonético-graphique. On y sera
donc très attentif. Ex. :
Sur la taille des chiffres, cf. §7.4; sur la concomitance du point
abréviatif et des points de suspension, §13.2.
8.2. Maintien de « ° »
8.2.1. Dans la numérotation. Nous maintenons le
« ° » qui se trouve en position exposant dans
l'énumération de différentes acceptions et remarques.
Ex. :
CELA, §§2-4 :
8.2.2. Dans l'abréviation « n°. ~ n°. ». Ex. :
Féraud recourt fréquemment à l'astérisque pour
signaler le « mauvais usage » (lexème qu'il
condamne, constructions blâmables, etc.).
9.1. « * » et capitales de taille <LARGE>
(adresses, renvois, reprises d'adresses et sous-adresses). Quand
l'astérisque précède un lexème transposé
en capitales larges (< petites capitales de l'imprimé), nous le
collons sur le lexème, à l'intérieur du code
<LARGE>. Ex. :
Sur la transposition des adresses, des renvois, etc., cf. §17.3; sur
l'interruption des codes de taille et de police devant les virgules, §§16.4 et
16.4.2; sur la suppression de l'espace devant un signe de ponctuation,
§16.1; sur le point abréviatif, §13.
Cette convention ne préjuge en rien de la portée de
l'astérisque; ainsi, dans l'exemple qui précède, il est
clair qu'elle vaut tant pour la seconde adresse que pour la première.
Ce n'est généralement pas le cas; cf. l'exemple qui suit,
où seul le verbe est visé :
9.1.1. « * » et capitales de taille <LARGE> en
<ITALIQUE>. S'il se trouvait des cas de superposition de taille
et de police, les deux attributs précéderaient, dans cet
ordre, l'astérisque. C'est dire que nous respectons en toute
situation le principe de coller l'astérisque directement sur les
lexèmes qui se présentent dans la taille <LARGE>. Sur la
taille des adresses, des renvois, etc., cf. §17.3; sur <LARGE>,
§19; sur <ITALIQUE> §20 et sur l'ordre des attributs
<TAILLE> + <POLICE>, §§21.1 et 21.2.
9.2. « * » et citations en vers. Le principe de
l'espace entre l'astérisque et la citation en vers reste valide. Si
un astérisque précédait le premier vers, on le
saisirait à l'extérieur du code <PETIT> qui l'introduit.
Mais, comme pour les cas virtuels de guillemets et de chiffres internes
à une citation en vers, on saisirait l'astérisque à
l'intérieur du code <PETIT> s'il se trouvait à
l'intérieur de la citation. Ex. virtuel :
« * » devant le deuxième vers de la
citation :
9.3. Ailleurs. Hormis les cas décrits ci-dessus
(§§9.1 et 9.2), nous saisissons l'astérisque tel qu'il se
présente, en préservant l'espace qui le sépare de ce
qu'il précède et sans l'inclure à l'intérieur
des codes quand il s'en présente immédiatement à sa
suite, tel qu'illustré dans les premiers exemples :
Sur le point abréviatif, cf. §13; sur la transposition du long
tiret de disjonction, cf. §1.3; sur la suppression de l'espace devant
les signes de ponctuation, §16.1; sur les guillemets, §6 et sur
les guillemets à un changement de page/colonne, §4.3.
Le trait d'union de l'imprimé sert à quatre choses :
Pour profiter maximalement de l'indexation, nous ignorons les césures
évidentes.
Nous saisissons les autres « traits d'union » de
l'imprimé (traits d'union de mots graphiques, traits d'union
d'enclise, tirets de syllabification et les césures incertaines)
comme un trait d'union standard, que nous déclarerons
caractère et non délimiteur. À l'étape finale
de l'indexation, nous statuerons sur les traits d'union d'enclise et les
césures douteuses; nous remplacerons le trait d'union d'enclise par
un délimiteur et rétablirons le mot dans le cas des
césures. Nous préserverons par ailleurs le statut de
caractère aux traits d'union des mots composés et des mots
phonétiques qui seront ainsi indexés comme des entités
au même titre que les mots simples. Ex. :
Sur la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, cf.
§16.1.
10.1. Césure. Le texte est saisi sans préserver
l'attribut « ligne » de l'imprimé. Dans cet
esprit, nous ne saisissons donc pas les « traits
d'union » de césure qui se trouvent dans l'imprimé.
Nous restituons dans les cas tout à fait transparents le mot
fragmenté dans l'imprimé, sans laisser trace de notre
intervention. Ex. :
10.2. Traits d'union d'enclise. Jusqu'à l'indexation finale,
nous ne tenons pour trait d'union d'enclise assuré que celui
présent en cas d'inversion pronominale. Ex. :
Les traits d'union d'enclise seront ultérieurement traités
comme des délimiteurs.
Sur la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, cf.
§16.1.
10.3. Césures douteuses, traits d'union d'enclise incertains et
traits d'union en fin de ligne de l'imprimé : doublement
(soit : --). Dans tous les cas où le statut de césure
n'est pas absolument sûr, nous doublons le trait d'union
saisi [8]. (Cette tâche revient aux
chercheurs et non aux clavistes.) Il s'agit essentiellement d'éviter
un biais dans le décompte des diverses graphies. Nous aurons donc une
idée nette de la distribution des variantes à trait(s) d'union
vs à éléments soudés vs à
éléments séparés par des espaces; ex. (en
partie) virtuels : « sur-tout » [9] vs « surtout » [10] vs « sur tout » [11]; « peut-être » [12] vs "peutêtre" vs « peut
être » [13]. Ex. :
Pour le traitement de la césure et des traits d'union en
présence d'un changement de page/colonne, cf. §§4.2.3 et
4.2.4.
10.4. Tirets de syllabification en fin de ligne de
l'imprimé : doublement systématique (soit : --).
Les clavistes doublent systématiquement les tirets de syllabification
qui se trouvent en fin de ligne dans l'imprimé. Ce double
« trait d'union » sera maintenu dans l'édition
électronique car rien n'autorise la normalisation de la
syllabification (alors qu'on peut déjà imaginer la
normalisation de la plupart des mots « graphiques » en
faveur d'un seul trait d'union sur la foi de l'ensemble des occurrences du
mot).
Illustration. Quand on lit sur la même ligne dans
l'imprimé : « al-légori-zeur »
(84, col. dr., l.1) , on sait que Féraud a isolé deux
syllabes : « al » et
« zeur », mais si
« zeur » s'était trouvé sur la
ligne suivante, on n'aurait pu affirmer que le tiret de fin de ligne
typographique est l'équivalent du tiret de syllabification. La
contrainte matérielle de la fin de ligne typographique peut
créer une syllabification fortuite. Inversement, Féraud
écrit « légori » en un seul bloc,
sans signaler la syllabification, mais si "lé" ou "go"
s'était trouvé en fin de ligne typographique, l'imprimeur
aurait forcément introduit un tiret de fin de ligne typographique
qui, c'est clair, ne ressortirait pas aux indications
métalinguistiques de l'auteur sur la syllabification. Ex. :
Sur la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, cf.
§16.1 et sur le traitement du tiret de syllabification en
présence d'un changement de page/colonne, cf. §4.2.5. Sur le
rétablissement des tirets de syllabification en présence d'un
espace dans l'imprimé, cf. section ORTHOGRAPHE..., §1.2.
Dans l'imprimé, les « traits d'union » de tous
les types (traits d'union de mots graphiques, traits d'union d'enclise et
tirets de syllabification) se trouvent parfois entre deux espaces ou avec
un espace avant ou après. Nous normalisons leur environnement et les
saisissons dans tous les cas sans espace de part et d'autre. Ex. :
Dans certaines citations en vers, des tirets de l'imprimé
(généralement plus courts que les traits d'union) semblent
remplir le rôle de tirets de dialogue. Toutefois, on en trouve
jusqu'à trois consécutifs, ce qu'il reste à
interpréter (leur nombre coïncide parfois avec celui des tours
de parole mais on ne peut exclure qu'ils signalent l'omission d'un passage
dans la citation). Ces tirets sont saisis comme des traits d'union mais,
pour les distinguer des traits d'union de l'orthographe, nous les isolons
par un espace à droite. Ex. :
Nous saisissons le point abréviatif différemment du point de
ponctuation et des points de suspension.
13.1. Point abréviatif (« · » [ALT-249]) et point de ponctuation (« . »
standard). L'indexation devra fournir la liste
complète des abréviations qui se trouvent dans le D.C.
En conséquence, nous traitons le point abréviatif comme un
caractère (non délimiteur), faisant partie intégrante
de l'abréviation, contrairement au point de ponctuation qui agit
comme délimiteur, au même titre que tous les signes de
ponctuation, et qui n'apparaît donc pas dans l'index. On saisira donc
différemment le point abréviatif et le point de ponctuation,
soit :
On aura compris que le choix de noter « · » assure
la visibilité du point abréviatif pour fins de relecture.
13.1.1. Ordinaux et point abréviatif
(« · » [ALT-249]). Cardinaux,
« ° » et points de ponctuation. Nous tenons
pour abréviatif le point qui suit les ordinaux. Ex. :
Sur la transposition du « I »
romain, cf. §7.1 et sur la taille des chiffres, §7.4; sur la
suppression de l'espace derrière/devant les parenthèses et
devant les signes de ponctuation, §16.1; sur la préséance
du point abréviatif sur le point de ponctuation, §15.4.
13.2. Point abréviatif (« · » [ALT-249]) et points de suspension. Quand le premier
point de suspension peut jouer le rôle d'un point abréviatif,
nous donnons préséance au statut de point abréviatif.
Ex. :
Sur les points de suspension en nombre variable dans l'imprimé, cf.
§16.2.
Sous une forme abrégée,
« c'est-à-dire » est omniprésent dans le
D.C. Le plus souvent, on lit « c. à. d. ».
Pour retrouver cette abréviation (très fréquente) dans
l'index des formes, nous convenons d'utiliser le point abréviatif
(« · » [ALT-249]) même après la simple
préposition « à ». On saisira donc
« c. à. d. » comme suit :
L'espace étant un délimiteur, nous envisageons un traitement
particulier de l'abréviation à l'étape finale de sorte
à l'indexer sous sa forme abrégée complète.
14.1. Maintien de « c.à.d. ». Nous
maintiendrons la notation sans espaces s'il y a lieu puisqu'elle ne
gêne en rien l'indexation de l'abréviation complète
(avec points abréviatifs).
14.2. Normalisation de toute autre abréviation de
« c'est-à-dire ». Toute autre notation de
l'abréviation, notamment « c. à d. », sera
normalisée en <c· à· d·> aux fins de
l'indexation, sans trace de notre intervention.
Notes
7. Le « I » est parfois absent; cf.
l'article CE (376-382) qui compte pourtant les grandes
divisions « II », « III » et
« IV »; cf. aussi COMPLEXION (505) où on lit
« II », COMPTE (511-512), numéroté de
« II » à « VIII ».
Nous maintenons les erreurs de numérotation, même quand elles
impliquent le passage d'une numérotation en chiffres arabes à
une numérotation en chiffres romains; c'est le cas notamment dans le
macro-article ÊTRE (« v. auxil.
et substantif. ») (T. 2, 173-176), subdivisé comme
suit : « Rem. » de
« 1° » à « 5° »
(173), puis passage à la numérotation en romains à la
page suivante (jusqu'à la fin de l'article), soit :
« VI » à « IX ». Cf. aussi
Annexe 2, §17.
8. Nous ne tenons pas toutes les césures pour douteuses. Par ex.,
nous la doublons dans « quelque-fois » > quelque--fois
mais non dans « quel-quefois » (> quelquefois) ou dans
« quel-qu'un » (> quelqu'un).
9. Cf. ANALYSE, l. 12-13 : « Il se dit sur-tout dans cette
dernière acception ; pour l'autre , [...] ».
10. Cf. ARCHET, col. dr., l. 5-7 : « passer sous
l'archet , se dit pour suer , surtout de ceux qui passent par les
grands remèdes. »
11. Cf. CALER, l. 9-12 : « J'avoûe que je l'aimerais
mieux que caler la voile , comme dit l'Acad. et sur tout , que
caler les voiles , comme dit le Rich. Port. ». Noter
l'homographe possible : APATHIQUE, l. 2 : « Qui est
insensible sur tout. »
6. Guillemets
Sur la taille des adresses, cf. §§3.1 et 17.3.1; sur la
suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, §16.1 et sur
le point abréviatif, §13.
« BASANE , s. f. [...] Peau de mouton
préparée , dont on se sert ordinairement pour
couvrir des livres. " Relié en
basane. »
>
[TAB]BASANE, s·
f· [...] Peau de mouton préparée, dont on
se sert ordinairement pour couvrir des livres. "Relié
en basane.
CÂRRELAGE, l. 8 : « " Ce
cârrelage » > "_ Ce cârrelage
7. Chiffres
CARACTÈRE, 360, citation en vers (de Rousseau) :
« Liv. I , Ode »
Dans le cas des renvois internes au D.C., la vérification
systématique dans l'original impose le choix : selon que ce
« I » appartient à une
série en chiffres romains ou en chiffres arabes, on le saisit en
conséquence.
CAUTÉRISÉE, 376, l. 2-3 :
« Cautériatam [sic]
habentium suam conscientiam I. Tim. v. 2. »
BARQUE, col. g., d. l. : « (Jaques
II) »
BATTRE, §4, l. 4 et 6 : « Guillaume
III », « Jacques II »
[Appui droite][ITALIQUE]Liv· I[Italique], Ode
Si "Ode" se trouvait aussi en italique, il faudrait réouvrir le code
(de sorte à inclure le point abréviatif à
l'intérieur de l'italique mais à en exclure la virgule; cf.
§16.4.2, soit :
[Appui droite][ITALIQUE]Liv· I[Italique], [ITALIQUE]Ode[Italique]
Sur la saisie des noms d'auteurs et d'oeuvres, cf. §§5.4, 17.5.1,
18.1, 18.4 et 21.1; sur le point abréviatif, §13.
[Appui droite][PETIT]Liv· I[Petit], Ode
Sur la saisie des noms d'auteurs et d'oeuvres, cf. §§5.4, 16.4.1, 17.4.1, 17.4.3, 17.5.1, 17.5.2,
18.1, 18.4 et 21.1; sur le point abréviatif, §13.
8. Attribut <EXPOSANT>
BATELET :
On le trouve aussi ailleurs, très occasionnellement; ex. :
CAÛTELEUX, l. 16 . : « Mr... ».
« [ 2e
e muet , 3e è
moy. br. au Ier
, dout. au 2d , long au
3e. ] Le
batelet [...] »
BARDE :
Sur la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, cf.
SAISIE..., §16.1; sur les chiffres rétablis en taille
normale, §7.4; sur la taille de l'intitulé « REM. », §17.4.1 et sur le point
abréviatif, §13.
« [...] I°.
Anciène armûre , [...]. 2°. Aujourd'hui
[...] »
>
[...] 1°. Anciène armûre,
[...]. _ 2°. Aujourd'hui [...]
« REM. I°. Celui et
Celle [...]
>
2°. Quand le pronom
[...]
3°. On emploie
ceci , cela réunis , [...] » [TAB]REM· 1°.
Celui et Celle [...]
[TAB]2°. Quand le pronom [...]
[TAB]3°. On emploie
ceci, cela réunis, [...]
BEAUCOUP, 259, 7°, d. l. : « Voy.
n°. 3°. et 4°. »
CAPITAINERIE, l. 7 : « Voy.
Capitaine , n°. 4°. »
9. L'astérisque
=
[TAB][LARGE]*ADOLÉCENCE[Large], [LARGE]ADOLÉCENT[Large], Richelet. Voy· [...]
« BASTANT , ANTE , adj. BASTE !
interj. * BASTER , v. n. [...] »
On aura compris que l'astérisque n'est jamais saisi au niveau de la
vedette.
Sur la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, cf.
§16.1.
« On a vu des Césars , et
même des plus brâves.
[TAB][PETIT]On a vu des
Césars, et même des plus brâves.
* Qui sortoient d'Artisans , de
Bandoliers , d'Esclaves. »
=
[TAB]* Qui sortoient d'Artisans,
de Bandoliers, d'Esclaves.[Petit]
devant un nom
d'auteur; ex. BIEN-AISE,
§2, l. 1 :
« * J. J. Rousseau l'emploie
[...] » = [TAB]* [ITALIQUE]J· J· [...] devant une locution
en début
d'alinéa; ex. BOUT, (304-)305, col. g., §-2 et -3) : « * A tout bout de champ , adv. [...]
= [TAB]* [ITALIQUE]\ൠtout [...] * De bout en bout , adv. [...] »
= [TAB]* [ITALIQUE]De bout [...] accompagnant une
remarque devant l'intitulé
« Rem. »; ex. CÉDER, §2, l. 1 : « * Rem.
[...] »
= [TAB]* [ITALIQUE]Rem· [...] devant le texte d'une remarque; ex. BRANCHE, §2, l.
1 : « Rem. * Quand une branche
[...] » = [...][Italique] *
Quand [...] devant une citation,
à droite des
guillemets; ex. BATTERÎE, §2, l. 4-5 : « " * Il dressa de loin [...] »
= "* Il [...] devant le
numéro d'une acception;
ex. BOURGEOIS, 361, col. dr., §4 : « * 2°. BOURGEOIS , [...] » = [TAB]* 2°. [...] devant un
commentaire à droite d'un signe de disjonction; ex. BOURSOUFLER,
l. 8 : « [...] == * Le Traducteur
[...] » = [...] = * Le [...] non introduit par un signe de disjonction; ex.
BRÂVERIE, §2, l. 1 : « * Autrefois , [...] »
= [TAB]* Autrefois, [...] 10. « Traits d'union » : l'imprimé
Nous dirons le premier césure, le deuxième trait
d'union, le troisième trait d'union d'enclise et le
dernier tiret de syllabification. Le traitement de chacun de ces
« traits d'union » vise à garantir au mieux
l'intégrité des mots simples, des mots graphiques
composés et des mots phonétiques aux fins de l'indexation.
Saisie Indexation COQ-A-L'ÂNE l. 8 : « [...] d'abord
d'un coq , [...] » coq l. 9 : « [...] d'un
âne , [...] » âne d. l. : « [...] par un
coq-à-l'âne. »
coq-à-l'âne CONVOYER l. 1 : « [...]
Kon-voa-ié : Ire »
kon-voa-ié CONVOQUER l. 1 : « [...]
Konvoke : Ire
lon. » konvoke ACAGNARDER l. 1 : « [...]
Akagnardé , » akagnardé DÉDAIGNEUX l. 2 : « [...]
Dédèg-neû , [...] »
dégèg-neû COMPULSER l. 1 : « [...]
Conpulcé , pul-soâ-re ; [...] »
conpulcé
pul-soâ-re
« [...] seu-
lement [...] » > seulement
« [...] d'un Ar-
cher [...] > d'un
Archer « [...] des che-
vaux [...] »- >
des chevaux
« [...] com-
prendre [...] » > comprendre
ARC-EN-CIEL, l. 13-14 :
« [...] Mais prononcera-
>
t-on arc-zanciel ? » [...] Mais prononcera-t-on
arc-zanciel?
A, 2, col. dr., §2, l. 10-11 : « [...] trop négligée
, peut-
être parce qu'elle est [...] »
> [...] peut--être parce qu'elle [...] AGISSANT, l. 7-8 : « [...] sur-
tout au masc. [...] » > [...] sur--tout
au masc. [...] AMBULATOIRE, l. 8-9 : « [...] très-
mal. [...] » > [...]
très--mal [...]
BARLONG, l. 1-2 : « [...] [Barlon ,
lon-
ghe ; [...] » > [...] Barlon, lon--ghe; [...] 11. « Traits d'union »: normalisation de
l'environnement
ASPIRER, §2, l. 17-18 : « Peut-être aussi
M. Hume le lui a - t - il doné. » > a-t-il BANDIT, l. 7 : « On le disait sur - tout de
l'Italie » > sur-tout CANTIQUE, l.-2 : « celui - ci » > celui-ci 12. Tirets de dialogue (?)
COMPAGNE, §2 :
Sur les conventions de saisie des citations en vers, cf. §5.3 et sur
la suppression de l'espace devant les signes de ponctuation, §16.1.
« Que fais-tu dans
ces bois , plaintive tourterelle ?
>
-- Je gémis , j'ai perdu ma
compagne fidèle.
- - Ne crains-tu pas que l'oiseleur
- - - Si ce n'est lui , ce sera ma
douleur. »
Ne te fasse mourir comme elle ? Que fais-tu dans ces bois,
plaintive tourterelle?
-- Je gémis, j'ai perdu ma compagne
fidèle.
- - Ne crains-tu pas que l'oiseleur
Ne te fasse mourir comme elle?
- - - Si ce n'est lui, ce sera ma douleur.
13. Point abréviatif (« · » [ALT-249])
point abréviatif > ·
[ALT-249] point de ponctuation > . standard Ex. : « s. m. » > s·
m· = s[ALT-249] m[ALT-249]
Nous tenons pour un point de ponctuation celui qui suit immédiatement
les chiffres (ex. III.) ou « ° » (ex. 2°.).
Ier.
> 1er· 2d. > 2d·
2e. > 2e· Ire.
> 1re· 2de. > 2de· 3e. > 3e· Iers. > 1ers· 2de. > 2de·
ABOMINABLE, d. §, l. 7 : « Me. de B....
Hist.
[...] » > Me· de
B·... Hist· [...] ABROGER, l. 4 : « * Mde. de B... ( H. Angl. )
[...] » > * Mde· de B·..
(H· Angl·) [...] CAÛTELEUX, l. 16 . : « Mr... »
> Mr·.. 14. C'est-à-dire
=
c[ALT-249] à[ALT-249] d[ALT-249]